Achat maison, appartement Angers - Location maison, appartement Angers

Quels sont les quartiers d’Angers qui ont la cote ?

Le cœur historique d’Angers attire particulièrement les primo-accédants et les particuliers désireux de réaliser un placement locatif.
Le centre-ville a toujours la cote. Les maisons restent chères du fait de leur situation. Les quartiers Mirabeau, La Fontaine, la place du Lycée, la Doutre restent très prisés. Les prix peuvent varier de 1 900 € à plus de 3 000 € le m².
Même chose dans les appartements anciens où la hausse des prix est plus forte dans les quartiers Sainte-Thérèse, de l’hôpital, Saint-Léonard, que dans le centre-ville…

Angers reste un micromarché. Rien à voir avec la région parisienne ou la région Paca. Angers, chef-lieu du département du Mainte et Loire est le centre d’une communauté d’agglomération, Angers Loire Métropole, comprenant 33 communes et 287 000 habitants avec une superficie de 540 km².

Sources : Ouest-France, Notaires de France

Stabilité des prix en Maine-et-Loire

Le marché immobilier dands le Maine et Loire est stable, mais avec de fortes disparités selon les communes.

Pourquoi de telles disparités ?

Trélazé rattrape les autres communes de l’agglomération d’Angers. Historiquement, la cité proposait des prix bien inférieurs. Avec davantage de terrains à construire, beaucoup plus de transactions y ont été réalisées.

À Saint-Macaire-en-Mauges, non loin de Cholet, il s’agit également d’un phénomène de rattrapage. La commune, proche de l’axe Cholet-Nantes, est attractive. Ses prix sont désormais supérieurs à ceux de Beaupréau.

Située à seulement 90 minutes de Paris en TGV, la ville d’Angers propose un marché immobilier dynamique.
Les acquéreurs sont toujours présents sur le marché de l’immobilier d’Angers. Primo-accédants, investisseurs immobiliers…

A Angers, dans le quartier Sainte-Thérèse. Les maisons confortables, dotées de terrains assez importants, trouvent d’autant plus preneurs grâce à la proximité du tramway, près du centre hospitalier universitaire.

Ces immeubles qui ont marqué l’architecture

Du nom de leur architecte, en avance sur son temps, ces neuf immeubles de 220 logements datent des années 1970.

Ils présentaient des formes « biologiques » en rappel de l’habitat troglodyte local. Les Kalouguines devaient être végétalisées, mais cela n’a pu se faire en raison de problèmes d’étanchéité qui nécessitent une réhabilitation de huit millions d’euros.

Un investissement trop important pour l’ancien propriétaire, Angers Habitat, qui a vendu le bâtiment 11 millions à 3 F en 2010, un important groupe immobilier social qui souhaitait s’implanter dans la région.

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