Ton ex‑coloc est resté « quelques jours » après son préavis, un ami squatte ton canapé depuis deux mois, ou ton/ta crush estime que ta chambre d’étudiant a tout d’une résidence secondaire gratuite ? Tant que tout le monde s’entend, l’hébergement à titre gratuit ressemble à un service rendu. Mais quand l’invité refuse de quitter les lieux, la galère juridique commence. Voici la marche à suivre, sans perdre ton bail ni ta caution.