Lumière, intimité, facilité d’accès, charges d’ascenseur, nuisances sonores, risques d’effraction ou d’infiltration… Entre un rez-de-chaussée et un dernier étage, l’expérience au quotidien change vraiment. Voici un guide clair pour trancher selon votre profil et votre projet de revente.

Vous n’avez pas 10 à 20 % d’épargne de côté et vous vous demandez si l’achat reste possible en 2025 ? La réponse n’est pas « oui pour tout le monde », mais ce n’est pas « non » non plus. Juridiquement, l’apport n’est pas exigé par un texte et en pratique, tout se joue sur la solidité du dossier et sur l’utilisation maligne des aides. Voici comment les banques regardent votre projet, et dans quels cas un achat sans apport peut encore passer.

Bonne nouvelle : en 2025, l’arsenal d’aides à l’accession a été revu et élargi. Entre PTZ « nouvelle formule », prêts complémentaires publics, dispositifs d’accession sociale et coups de pouce locaux dans le Grand Ouest, il existe de vrais leviers pour faire rentrer votre première résidence principale dans le budget.
Voici un tour d’horizon pour vous permettre de concrétiser votre projet immobilier.

Vous achetez votre première résidence principale ou vous n’en avez pas possédé récemment ? Être « primo-accédant » n’est pas qu’une étiquette : c’est un statut qui ouvre la porte au prêt à taux zéro (PTZ), oriente la manière dont les banques analysent votre dossier, peut activer des aides locales et impose aussi quelques règles.
Voici l’essentiel, clair et à jour, pour avancer sereinement.

Un premier appart’, c’est la promesse d’une liberté toute neuve… et d’un compte bancaire qui fait un grand plongeon avant même que tu aies collé tes premières affiches. Entre dépôt de garantie, premier loyer, branchements, mobilier et pizza pour les copains déménageurs, la note grimpe vite. Voici une feuille de route pour chiffrer, au plus juste, le budget installation et garder ce qu’il faut pour mettre du pesto dans les pâtes
