La désormais fameuse « taxe abri de jardin » refait parler d’elle en ce début d’année du fait d’une nouvelle hausse pour la cinquième année de suite. Cette taxe concerne les aménagements, rénovations et constructions de plus de 5 m² et 1 m 80 de hauteur.
La taxe d’aménagement, appelée aussi taxe « abri de jardin » s’applique aux cabanons à partir de 5 m². Chaque année, les tarifs au m2 de surface de construction sont actualisés.
Pour la prochaine déclaration de revenus 2018, certaines démarches sont encore envisageables d’ici le 31 décembre 2017 pour diminuer sa facture fiscale.
La taxe d’habitation est due par les locataires, habitants à titre gratuit et propriétaires occupant un bien d’habitation. La taxe foncière par les propriétaires.
Entre la chute des dotations de l’État et la trajectoire habituelle des finances locales, souvent en progression, la hausse de la pression fiscale complique la vie des élus comme des contribuables.
C’est la période de la taxe foncière et la taxe d’habitation. Ces impôts sont perçus au profit des collectivités locales.
Contrairement à la taxe d’habitation, la taxe foncière ne concerne que les propriétaires d’un bien immobilier, au 1er janvier de l’année d’imposition.
La taxe foncière arrive, suivie de la taxe d’habitation. À l’approche des municipales, les augmentations restent modérées cette année. Ce qui n’a pas été le cas pendant le reste du mandat.
Votée fin 2013, l’expérimentation de la révision des valeurs locatives des locaux d’habitation sera menée dans ces cinq départements à partir du 1er janvier.
Les impôts locaux vont-ils s’envoler pour certains, fondre pour d’autres ?