Vous n’avez pas 10 à 20 % d’épargne de côté et vous vous demandez si l’achat reste possible en 2025 ? La réponse n’est pas « oui pour tout le monde », mais ce n’est pas « non » non plus. Juridiquement, l’apport n’est pas exigé par un texte et en pratique, tout se joue sur la solidité du dossier et sur l’utilisation maligne des aides. Voici comment les banques regardent votre projet, et dans quels cas un achat sans apport peut encore passer.
Bonne nouvelle : en 2025, l’arsenal d’aides à l’accession a été revu et élargi. Entre PTZ « nouvelle formule », prêts complémentaires publics, dispositifs d’accession sociale et coups de pouce locaux dans le Grand Ouest, il existe de vrais leviers pour faire rentrer votre première résidence principale dans le budget.
Voici un tour d’horizon pour vous permettre de concrétiser votre projet immobilier.
Bonne nouvelle : les taux reculent et les prix se détendent. Mauvaise nouvelle : la taxe foncière 2025 continue de grimper et pèse de plus en plus dans le budget des propriétaires. Si vous êtes primo-accédant, intégrez-la dès la première simulation : c’est elle qui peut faire déraper un taux d’effort pourtant « dans les clous ».
Vous achetez votre première résidence principale ou vous n’en avez pas possédé récemment ? Être « primo-accédant » n’est pas qu’une étiquette : c’est un statut qui ouvre la porte au prêt à taux zéro (PTZ), oriente la manière dont les banques analysent votre dossier, peut activer des aides locales et impose aussi quelques règles.
Voici l’essentiel, clair et à jour, pour avancer sereinement.
Juliette et Lucas sont heureux. Ce jeune couple à peine trentenaire vient d’obtenir un accord de financement pour leur première acquisition commune, un appartement à Vannes. Comme beaucoup de primo-accédants, ils craignaient que la hausse des taux d’intérêt et des prix rende leur projet inaccessible. Finalement, en s’informant sur les aides disponibles, ils ont réussi à concrétiser leur rêve.
Car oui, en 2025, il existe encore de nombreux leviers pour soutenir les primo-accédants dont voici les principaux dispositifs à connaître.
La première visite d’un bien immobilier est un moment particulièrement important, surtout lorsqu’on est primo-accédant. Entre l’excitation, la peur de passer à côté d’un bon plan et le stress de poser questions “bêtes”, il est facile de faire des erreurs. Pour éviter les mauvaises surprises, voici les 5 erreurs les plus fréquentes à éviter pour faire de votre visite une vraie réussite.
En 2025, le marché immobilier présente des spécificités à prendre en compte pour éviter les faux pas. Découvrez les erreurs les plus courantes à éviter et les conseils pour les contourner à travers l’expérience d’Alexia et Marc.
Le projet de loi visant à augmenter les droits de mutation à titre onéreux (DMTO), communément appelés « frais de notaire », connaît des ajustements notables. Alors que le Premier ministre Michel Barnier avait annoncé un relèvement du plafond des DMTO de 0,5 %, une source gouvernementale confirme désormais que cette hausse ne concernera ni les primo-accédants ni les achats de logements neufs.
Le neuf, ce n’est pas dans vos moyens ? Voici une idée reçue persistante. Si l’achat dans le neuf est bien souvent plus onéreux que dans l’ancien, il existe plein de possibilités afin de faire baisser le montant de l’addition et faciliter votre financement. Et même sans être en CDI ! Suivez le guide.
Bien que méconnu, le prêt immobilier subventionné par l’employeur est un dispositif avantageux tant pour l’employeur que pour le salarié. D’abord réservé aux grandes entreprises, il s’ouvre à présent aux PME.
Découvrons ensemble ce dispositif gagnant-gagnant.