Des agences qui ferment, des acquéreurs frileux, des vendeurs parfois déraisonnables : le secteur de l’immobilier a, lui aussi, ressenti les effets de la crise en 2012. État des lieux.
La flambée se calme un peu, même si ce n’est pas encore très net à Nantes. Dans l’incertitude, on peut faire de bonnes affaires.
Pour faciliter l’accession à la propriété des Parisiens, la ville de Paris va défendre la création d’un dispositif anti-spéculatif de dissociation du foncier et du bâti.
Pour construire la future ligne de métro, Rennes Métropole rachète les souterrains des Rennais… jusqu’au centre de la Terre. Longue de huit kilomètres, la ligne b sera creusée à une dizaine de mètres de profondeur.
Le constat des notaires finistériens est sans appel. 2012 a été médiocre. Pour 2013, l’optimisme n’est pas encore de rigueur.
Le marché national flageole : – 25 % en volume. Mais ce recul est moindre en Bretagne, tandis que les prix s’effritent. C’est surtout l’accession à la propriété qui souffre.
Vannes. Le salon qui se tient le week-end prochain peut être l’occasion de découvrir des dispositifs facilitant l’achat et de rencontrer les professionnels de la maison.
Cent vingt exposants locaux sont attendus au salon Habitat et déco qui se déroulera les 16, 17 et 18 février.
L’évolution incertaine des prix complique le calcul. Selon les hypothèses, il faut en moyenne 3 à 8 ans pour retomber sur ses pieds. Les variations sont fortes entre les villes.
La Basse-Normandie est le bon élève des régions françaises pour les économies d’énergie dans le bâtiment.