Constat des notaires, marché immobilier neuf et ancien, dans les villes, les secteurs ruraux et sur le littoral.
Spécial résidences secondaires, les prix sur le littoral breton, le profil des acquéreurs
Tendances générales, perspectives, prix moyens par département
Les efforts consentis par les ménages modestes pour se loger continuent d’augmenter, selon une étude que l’Insee vient de publier.
Un ménage aux revenus moyens peut espérer acheter un 62 m² à Rennes, contre seulement 31 m² à Paris !
Les prix des logements anciens en France ont augmenté légèrement (+ 1,3 %) sur un an au premier trimestre, tirés par la hausse continue en Ile-de-France (+ 5,4 %) alors qu’une décrue s’amorce en province, selon l’indice Notaires-Insee publié aujourd’hui.
Rennes n’est plus la ville la plus chère de l’Ouest. Après deux années de baisse, les prix repartent pourtant à la hausse, rejoignant les niveaux de 2005. Avec de fortes disparités en fonction des quartiers.
Son prix de vente ne relève pas du hasard. À travers un exemple, Philippe Legrand, de l’agence Laforêt immobilier, nous résume sa méthode.
Au cours des trente dernières années, le prix réel des logements anciens, hors inflation, a été multiplié par deux, tandis que les loyers réels progressaient de seulement 30%, indique le Centre d’analyse stratégique (CAS).