Le projet de loi de finances rectificative 2014 prévoit d’autoriser les communes à relever de 20 % la taxe d’habitation sur les logements meublés qui ne sont pas des résidences principales.
La France taxe davantage l’immobilier, tant la construction que la vente de logements neufs, que ses voisins européens, montre une étude publiée par le cabinet d’avocats Fidal et commandée par la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI).
Taxe, surtaxe, abattement, exonération… pas simple de retrouver son chemin dans les dédales de la fiscalité sur les plus-values immobilières.
Les aménageurs lotisseurs s’alarment d’annulations de ventes.
Le Syndicat national des aménageurs-lotisseurs veut créer un « choc de l’offre foncière » grâce à une fiscalité incitative.
Est-ce la fin des incitations fiscales dans l’immobilier, du type Scellier ? les acteurs du secteur s’inquiètent des poursuites de Bruxelles contre les avantages accordés par la France aux investisseurs locatifs.
Les « meublés » font l’objet d’une imposition particulière, souvent plus avantageuse que pour la location classique.
Le statut de loueur meublé (professionnel ou non) est un outil de défiscalisation des plus performants. Il permet aux investisseurs de se créer un patrimoine immobilier grâce à des revenus locatifs non imposables
Entrée en vigueur le 1er janvier 2013, en remplacement de la loi Scellier, la loi de défiscalisation Duflot favorise l’investissement locatif intermédiaire. Ce nouveau dispositif de défiscalisation prendra fin le 31 décembre 2016.
Prêt à taux zéro renforcé, loi Scellier, loi Duflot, fiscalité verte