Vous avez décidé d’acquérir un bien immobilier en vue de faire un bon investissement locatif, mais il est en copropriété. Est-ce un avantage ou un inconvénient ? Cet article revient pour vous sur cette notion de copropriété pour vous aider à mieux comprendre son incidence sur votre vie de propriétaire-bailleur.
Face à la pandémie du coronavirus, l’État a ordonné que toute forme de rassemblement soit désormais interdite. Toutefois, ces mesures prises engendrent l’annulation de nombreuses assemblées générales de copropriétés. Afin d’éviter d’être dans l’illégalité et de ne pas avoir de syndic, le gouvernement a su proposer une solution de flexibilité.
L’intérêt du recours au syndic bénévole est avant tout économique. Il permet aux copropriétaires de diminuer les frais représentés par les honoraires pratiqués par les syndics professionnels.
Propriétaires > Il est toujours possible de changer votre syndic. À condition de respecter certaines règles. Et de s’assurer, au préalable, que la majorité des copropriétaires le souhaite vraiment.
A compter du 1er juillet 2015, les syndics devront respecter le contrat type de syndic de copropriété créé par la loi Alur.
La pose d’un détecteur de fumée, obligatoire dans les logements à compter du 8 mars, est facturée par certains syndics cinq fois le prix de ces appareils, voire assortie d’un contrat de garantie ou d’entretien inutile, dénonce une association de co-propriétaires.
Règles de vote, ventes d’un lot de copropriété, syndics, copropriétés en difficultés : la loi Alur a modifié certaines règles dans les copropriétés.
Les gros syndics de copropriété continuent à pratiquer des tarifs excessifs et à truffer leurs contrats de clauses abusives.
Depuis l’entrée en vigueur de la loi Alur, les acheteurs de biens immobiliers en copropriété doivent se voir remettre une série de documents dès la promesse de vente, ce qui renforce leur protection… mais retarderait les transactions.
Certains syndics ont trouvé « une astuce » pour échapper à leurs nouvelles obligations