Ces 14 phares bretons, inscrits au titre des monuments historiques le 31 décembre, font partie des quelque 130 phares que compte la France, dont 35 sont situés en ville, 25 en mer et 70 sur des caps, îles ou estuaires.
Tranquillité assurée, plage déserte et air marin : chaque année, quelques acheteurs cèdent à la tentation de s’offrir une île privée en Bretagne, même si ce « rêve d’enfant » se heurte à une réglementation très stricte et parfois des travaux onéreux.
C’est ce que vient de vérifier l’Insee. Les bons points : des logements plus grands et des équipements culturels appréciés. Et aussi une densité moins forte que la moyenne.
En Bretagne, comme de toute façon ailleurs en France, le marché des locations dans le secteur privé est bien loin d’être au mieux de sa forme.
Les prix ont beau baisser, les taux des prêts être au plus bas, en Bretagne le marché immobilier est au point mort. En cause, la crise et le chômage.
Lorsque l’on évoque les lieux emblématiques de Batz-sur-Mer, on cite souvent la chapelle du Mûrier, le Musée des marais salants, le port Saint-Michel ou bien encore la tour Saint-Guénolé.
Avec des biens d’exception, elle contribue à faire de la France le deuxième pays le plus attractif de l’immobilier de luxe.
Les volumes de ventes baissent, mais moins qu’au premier trimestre 2013. De même pour les prix. Les notaires de Bretagne dressent un bilan mitigé qui trouve ses origines dans la crise.
La Bretagne a beau être la terre d’élection des complexes de thalassothérapie, ici aussi les effets de la crise se font sentir. Trois projets de nouveaux établissements prennent l’eau…
Les Bretons sont de plus en plus nombreux. L’urbanisation ronge la campagne. Pourtant, la région compte 120 000 logements vacants. Un paradoxe.